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Retrouvez le message de Noël de la Mission ouvrière pour 2022 "Des milliers d'étoiles font briller nos vies".

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Messages de la Mission Ouvrière à l'occasion du 1er mai 2022

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journée de récollection de la JOC

Tu veux vivre en temps de foi, découvrir la JOC on t'attend le 23 avril a l'église des saint anges

Oui au logement pour tous ! Non aux squats et campements !

Retrouvez ici la parole de Jean Loïc Lafon, Délégué Diocésain à la Mission Ouvrière de Gironde, qui dénonce le manque de logement dans la Métropole Bordelaise.

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Edito du mois de juillet 2023

Mission Ouvrière de Gironde

 

Depuis la mort de Nahel, 17 ans, à Nanterre, le 27 juin dernier, des révoltes secouent les quartiers populaires des grandes villes. Réactions viscérales de jeunes qui en veulent aux institutions en général et à la police surtout.

 

On laissera aux sociologues, aux spécialistes de la politique de la ville l’analyse des causes de ces révoltes. 2005, 2007, 2023 : elles interviennent chaque fois que les jeunes constatent des injustices criantes à leur égard, des discriminations liées à leurs origines et surtout chaque fois que des actes policiers insoutenables provoquent la mort de l’un d’entre eux.

 

On peut comprendre les motifs de cette violence mais elle n’est pas acceptable. La violence n’est jamais une réponse positive, qui plus est quand elle touche les quartiers populaires eux-mêmes, avec notamment la destruction des équipements collectifs et des voitures des habitants.

 

Mais force est de constater que les journalistes, les femmes et hommes politiques, nos dirigeants ne parlent de ces quartiers que lorsqu’ils brûlent. Pourquoi n'en parlent-ils pas pour valoriser ce qui s’y passe de positif ?

 

C’est vrai, les familles qui y vivent sont toujours des familles pauvres, et de plus en plus monoparentales, c’est-à-dire des femmes seules qui élèvent leurs enfants ; c’est vrai que de nombreux quartiers sont relativement plus calmes car toutes sortes de trafics y sont tolérés !

 

Mais depuis 40 ans, les quartiers populaires ont changé. La politique de la ville a permis, grâce à tous les acteurs sociaux et partenaires publics, grâce à la mobilisation des habitants, des associations, un travail de fond dans ces quartiers. Dans de nombreux quartiers, les cités HLM les plus anciennes ont été démolies et reconstruites, des services collectifs ont été créés, des actions sociales, culturelles et sportives ont été proposées aux habitants ou proposées par eux. Mais il n’y a jamais de valorisation de ces réussites ! 

 

La violence ne doit pas l’emporter au risque d’accroître la peur et de servir certains partis politiques qui prônent le rejet des classes populaires surtout lorsqu’elles sont issues de l’immigration.

 

Ne baissons pas les bras et continuons à agir dans nos quartiers, avec nos associations, chaque jour, parlons de ce qui se passe de bien dans ces quartiers, et ne laissons pas la place à ceux qui préfèrent détruire ce que nous construisons au nom d’un monde libre, égalitaire et fraternel !

 

Rappelons-nous de la lettre encyclique Fratellini Tutti du saint-père François sur la fraternité et l'amitié sociale (55) :

 

« J’invite à l’espérance qui « nous parle d’une réalité qui est enracinée au plus profond de l’être humain, indépendamment des circonstances concrètes et des conditionnements historiques dans lesquels il vit. Elle nous parle d’une soif, d’une aspiration, d’un désir de plénitude, de vie réussie, d’une volonté de toucher ce qui est grand, ce qui remplit le cœur et élève l’esprit vers les grandes choses, comme la vérité, la bonté et la beauté, la justice et l’amour. […] L’espérance est audace, elle sait regarder au-delà du confort personnel, des petites sécurités et des compensations qui rétrécissent l’horizon, pour s’ouvrir à de grands idéaux qui rendent la vie plus belle et plus digne ». Marchons dans l’espérance ! »

 

Jean Loïc Lafon

Délégué Diocésain à la Mission Ouvrière de Gironde

 

 

Prière pour l'Ukraine

                                       

 

 

La nouveauté inquiète toujours un peu

 

Le Crucifié ces jours est en Ukraine.

Il est avec les jeunes qui meurent dans les combats,

les civils qui fuient les bombardements et qui sont écrasés par les bombes,

les femmes, les vieillards et les enfants qui ont peur et se cachent,

les blessés dans les hôpitaux surchargés,

les mères qui pleurent leur fils tué.

 

Ô Jésus ! Pourquoi la guerre ?

 

Le Crucifié ces jours a mal et crie : « j’ai soif ! »

et encore : « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as tu abandonné ? »

Il est couvert de sang,

le sien et celui des autres.

Avec toutes celles et tous ceux qui l’entourent il a peur. Il dit : 

« Ma vie, ô Père je te la donne ! Je suis venu pour que pas un seul ne soit perdu. »

 

Ô Jésus ! Jusques à quand la destruction de l’homme par l’homme ?

 

Le Crucifié ces jours n’a pas de tombeau.

Son corps mutilé pend aux carrefours des rues de Kiev et d’ailleurs.

Joseph d’Arimathie n’a pas pu obtenir que soit recueillie sa dépouille,

et les femmes de sa famille et de de son entourage ont été empêchées de le rejoindre.

Ni prières, ni aromates pour lui !

Point d’ange consolateur !

 

Ô Jésus ! Qu’ils sont longs les vendredis saints du monde !

 

Le Crucifié ce jour vient me dire ma solidarité.

Il me dit : « J’ai besoin de toi »

Il met son corps entre mes mains.

Il me montre les Ukrainiens et dit : « Voici ta mère, voici tes frères »

et puis : « ce que tu fais à l’un de ces petits qui sont les miens, c’est à moi que tu le fais »

Il en appelle à ma révolte, à ma prière, à mon jeûne, à mon partage.

 

Ô Jésus ! Me voici

  Christian Delorme prêtre à Lyon 

EDITO DU MOIS d'Avril  

 

                                                  Fragilité (s)

 

                                           «  L’homme, comme l’herbe,

                                            comme la fleur des champs

                                            un souffle passe, il n’est plus » (Ps 103,15-16)

 

C’était un dimanche après-midi,

Avec Cl et J, un couple ami, en équipe d’ACO (Action Catholique Ouvrière) avec Michel

nous décidons d’aller lui rendre visite au Centre de rééducation

où il a été admis suite à son Accident Vasculaire Cérébral (AVC),

Il n’est pas seul dans ce Centre.

Michel se retrouve au milieu d’un peuple physiquement abîmé

des accidentés de la route, du travail…...tous ceux que la vie a malmené

des jeunes, des femmes, des hommes, en fauteuil roulant, sur un brancard, avec des béquilles...

Ils sont là avec l’espoir d’une amélioration de leur condition de vie :

réapprendre à se tenir debout, à marcher, à se servir de leur mains…

aidés en cela par des soignants attentifs à chacun,

 

Michel lui, est fragilisé au niveau cérébral :

perte de mémoire, difficulté à mettre un nom  sur un visage connu.

Il est conscient de cet handicap, et il en souffre :

« je suis perdu » « c’est compliqué » « j’aurais mieux fait d’y rester »

Certes il a de nombreuses visites, sûrement beaucoup de prières

autant de témoignages de soutien, d’affection,

mais est-ce suffisant pour vivre sereinement la traversée de cette terre de solitude ?

 

Ce dimanche après-midi, Cl. en ACO lui aussi nous a rejoint.

Michel nous accompagne dans le parc du Centre.

Assis autour d’une table nous échangeons avec lui,

et voilà que notre conversation prend la tournure

d’une révision de vie sur la fragilité de l’être humain.

Chacun dépose sur la table en le confiant aux autres,

un passage de sa vie qui lui a été particulièrement difficile à traverser:

pour Cl, le décès de sa femme après une longue maladie,

pour Cl et J, la mort subite de leur fils ;

Les uns et les autres expriment leurs doutes, leurs questions, la mise à l’épreuve de leur foi,

mais aussi comment ils ont été aidés, comment ils ont réussi à remonter la pente,

 

Reprenant ce partage seul le lendemain matin, je leur communiquais

ces quelques lignes de Jacques  Arènes parues dans ‘La Croix’ du jour même :18 mars

" La foi n'est pas une sécurité absolue,

elle comporte un élément d'incertitude à accepter...

La foi n'est pas une protection,

ou un vaccin contre une réalité qui n'est pas toujours facile ;

c'est une possibilité de se confronter à cette réalité,

de la traverser avec une forme de force qui n'élimine pas la difficulté...

Chacun a ses difficultés, ses périodes de souffrance.

Dieu est alors présent d'une autre manière, plus subtile.

Avoir une foi adulte, c'est garder une confiance dans la vie,

même éprouvée par les évènements...."  

 

 

 

Au moment où j’écrivais ces lignes,le hasard a voulu que je rencontre J,

qui me donne des nouvelles de son mari : opération du pancréas, chimio… :

une vie fragilisée parmi beaucoup d’autres.

En même temps, J. vit cette épreuve avec une force incroyable,

sans aucun doute celle du Ressuscité, du Maître de la Vie.

 

Au delà de ces situations particulières il nous faut voir la détresse

de toutes ces populations obligées d’emprunter le chemin de l’exil

parce que victimes de l’inhumain à la ressemblance

de Crucifié que nous allons contempler cette semaine, lui qui a jeté ce cri :

Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as -tu abandonné ? »

Sans oublier la pandémie qui a fait prendre conscience à l’humanité de sa fragilité

 

Nous voilà alors inviter à prolonger ce partage

 

- en relisant et en priant avec les psaumes

dans lesquelles beaucoup aujourd’hui peuvent se retrouver,

           « Ma vie est au bord du trou

              je suis un homme fini

              congédié chez les morts.

              Tu m’as mis au tréfonds de la fosse,

              dans les ténèbres, dans les abîmes

              Je suis enfermé et ne puis sortir…

              Ma compagnie c’est la ténèbre  »    (Ps 88)  

 

- en méditant sur la fragilité de Dieu révélée en Jésus de Nazareth

« Lui qui de condition divine s’anéantit,

a pris la condition d’esclave et

est devenu semblable aux hommes » (Philippiens 2,7 )

 

« Il faut donc poursuivre à longueur de jours et d’années une méditation proprement chrétienne qui nous persuade en profondeur que c’est la Toute-Impuissance du Calvaire qui révèle la vraie nature de la Toute-Puissance de Dieu, de l’Être éternel et infini. »  François Varillon (Joie de vivre, joie de croire p 25)

 

« Jésus-Christ manifeste un Dieu à fleur d’homme, à hauteur d’homme victime de l’inhumain » Frère François Cassingena (lettre pascale 2022)

 

« Le Christ, en nous révélant la fragilité de Dieu, la remet entre nos mains et nous confie le destin de Dieu » (Zundel, 16 février 1964)

                                                          « Ce qu’il y a de faible dans le monde

                                                           voilà ce que Dieu a choisi pour confondre la force »(1Cor1,27)

 

      

                                                                      A Lormont le 10 Avril 2022     Dimanche des Rameaux,

                                                                                                            

                                                                                                   Antoine Brethomé

EDITO DU MOIS De Janvier  

                                            Noël 2021

 

« Que les hommes admirent ce qu’ils voudront,

pour nous, ne trouvons d’admirable que l’Incarnation et ses divines suites….

Nous n’irons point à d’autres écoles : celle-là suffit. »Louis-Marie Baudouin 21 mars 1825

 

A Noël la lumière déchire les ténèbres pour laisser passer la Parole

qui vient demeurer parmi nous et féconder notre terre.

 

Sur nos routes humaines dominées par tant d’obscurités  

marchant au milieu d’une foule au visage masqué

il se pourrait que des rayons de soleil réussissent à déchirer

l’épais manteau de grisaille, d’incertitude, de morosité

qui habite notre humanité.

 

Alors arrêtons-nous un instant dans la clairière,

et debout ou couché à même le sol, parce qu’épuisé

tournons notre visage vers le soleil

et accueillons avec bonheur cette Lumière,

laissons nous envahir dans notre chair, dans notre coeur

par sa douceur, sa chaleur.

 

 

« Le Verbe était la vraie lumière

qui, en venant dans le monde,

illumine tout homme » Jn 1,9

 

 

 

Bonne Année

 

                                                            24 décembre 2021 

                                                            Antoine Brethomé

EDITO DU MOIS De Décembre

Prière Pour le Jour du Migrant - 18 décembre

Dieu d'Amour, Dieu sans frontière,

Dieu que nous voulons reconnaître dans notre Histoire humaine

Dieu dont nous voulons fêter la venue en ces temps de Noël

Tu nous fais signe aujourd'hui, à travers l'histoire des migrants!

Fais-nous comprendre que l'étranger qui doit quitter son pays en abandonnant tout: C'est Toi!

Fais-nous comprendre que l'étranger qui doit vivre de nombreuses semaines, mois ou années de voyage dans l'incertitude complète: c'est encore Toi!

Fais-nous comprendre que l'étranger qui nous dérange en venant frapper à notre porte, dans l'espoir d'une vie meilleure: c'est toujours Toi!

Aide-nous à renverser nos murs pour qu'ils deviennent des ponts!

Aide-nous à traverser nos peurs pour vivre la culture de la Rencontre!

Aide-nous à transformer les frontières pour en faire des lieux d'accueil et de fraternité!

Que cela soit ainsi: Amen!

Chant (adaptation Bernard Robert-musique Odette Vercruysse-référence SM4)

C'est Noël chaque fois qu'un étranger arrive sur notre terre natale

C'est Noël quand enfin, il se sent accueilli comme un être normal

C'est Noël quand partout, des hommes et des femmes deviennent solidaires

C'est Noël quand chacun peut trouver un travail, un vrai toit, une terre

        C'EST NOËL CHAQUE JOUR

         CAR NOËL, Ô MON FRÈRE, C'EST L'AMOUR.

               Bernard Robert aumônier international MMTC (Mouvement Mondial des Travailleurs Chrétiens)

Poème: Le soleil sourit et la nuit s’enfuit

L’âme de l’humanité,
C’est la solidarité.
Elle est la graine de la paix.
Elle le socle de la sécurité.
Elle est l’antidote de la pauvreté.

Soyons solidaires
Pour se sentir comme des frères.
Soyons solidaires
Pour abîmer la galère.
Soyons Solidaires
Pour fondre la misère.
Soyons solidaires
Pour un amour sincère.

Ne laissons personne tomber par terre;
Ça me donne un boucan d’enfer.
Incarnons la générosité de la mer.
Approprions la douceur de la rivière.
Illuminons la vie tel l’astre solaire.

Oh nuit obscurcie par l’enveloppe de la haine!
Oh nuit assombrie par le voile d’actes obscènes !
Oh nuit horrifiée par la xénophobie!
Oh nuit alitée sur le vide de l’idiotie !
T’as toujours cédé face à la lumière de l’amour;
Cette énergie qui berce nos cœurs pour donner le jour:
Le jour ensoleillé par l’amour du prochain,
Le jour rayonné par la mort du chagrin,
Le jour éclairé par la victoire de l’humain ,
Face au camouflage du monstre à visage humain.

Et le vivre ensemble s’installe dans nos mémoires
Telle l’Afrique de mes aïeules après que l’or du soir
Bénisse le continent avec son beau sourire,son au revoir;
Les contes, les chants et les pas de danse
Peignent l’atmosphère où le bonheur inonde les sens.
Sous l’arbre à palabres les vertus se tissent
Et s’accepter mutuellement,la sagesse s’y glisse.

La différence n’est que le mirage du regard.
Notre appartenance n’est qu’humaine,le reste n’est que bobard.

Étalons la solidarité!
Détrônons la cupidité!
Plions la haine!
Partageons nos peines !
Pilons le sectarisme !
Respirons l’humanisme!

Reviens toi la bonté pour effacer l’égoïsme .
Reviens toi la modestie pour écraser le suprématisme.

En France ,il ne doit pas y avoir une sous-France
Où Persisterait,où régnerait la souffrance.
Dans le monde,il ne doit pas y avoir un sous-monde
Où tous les malheurs et toutes les horreurs se fécondent.
Et pour ça le secours catholique
Est apparue tel un oasis en plein milieu désertique
Pour musquer des milliers de vies précaires.
Soutenons le alors pour le triomphe de la main solidaire !

Nguirane Moussa,Étudiant à l’Université BORDEAUX Montaigne

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EDITO DU MOIS D'Octobre

Nous vous partageons pour ce mois d’Octobre un poème écrit par un étudiant Nguirane Moussa,Étudiant à l’Université BORDEAUX Montaigne.

Il nous a fait la joie de le partager à l’occasion de l’évènement CLAP que nous avons organisé avec le secours catholique. Le 10 Juillet  au théâtre de verdure à Saige plus de 100 personnes se sont donnés rendez-vous et sont venus pour profiter de cet évènement.

A cette occasion nous avons eu le plaisir d’accueillir différentes associations étudiantes pour participer à un débat autour du Vivre Ensemble.

Une projection d’un film documentaire « La Loi de la Vallée » montrait  l’accueil des migrants dans un village de la vallée de la Roya.

Ce moment festif nous a tous réuni, un moment de fraternité et de découverte d’autres cultures à la fois. L’association ABESS (Association des Sénégalais et Sympathisants de Bordeaux) nous a permis de découvrir l’Afrique à travers  les costumes traditionnels, la danse et la musicalité. Johanna avec son groupe de musiciens chiliens nous a ravi avec les sons d’Amérique Latine.

 

Que ce mois d’Octobre nous donne l’occasion d’aller vers les autres, découvrir d’autres cultures.

Les différents mouvements de la Mission Ouvrière de Gironde ont fait leur session de rentrée.

A l’ACE Gironde la nouvelle campagne d’année s’ouvre avec « Explorons les Beautés du Monde »

La JOC relève le défi de combattre les préjugés et les discriminations « au-delà des masques »

L’ACO pour un travail décent et digne à tous les travailleurs.

La rencontre de la Mission Ouvrière que nous préparons autour des migrants, réfugiés comment vous accueillir ? vous permettra de mieux connaître les différents mouvements de la Mission Ouvrière de Gironde.

 

Soyons solidaires
Pour se sentir comme des frères.
Soyons solidaires
Pour abîmer la galère.
Soyons Solidaires
Pour fondre la misère.
Soyons solidaires
Pour un amour sincère.

 

                                                                                                               

 

 

Présentation de Moussa étudiant à l'université de Bordeaux qui nous offre son témoignage.

Je suis originaire du Sénégal. C'est là-bas que j'ai fait tout mon cursus scolaire jusqu'à l'obtention de mon bac. Après mon bac j'ai fait ma licence 1 Géographie à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal) avant de venir continuer mes études en France à l'Université Bordeaux Montaigne où je suis diplômé d'une Licence en Géographie et Aménagement. Je suis actuellement en Master 1 Gestion des Territoires et Développement Local (GTDL).    Je suis un passionné de la poésie dès mon bas âge car j'ai écrit mon premier poème en hommage à ma mère à l'âge de 13 ans.

Aujourd'hui j'ai écrit plus d'une vingtaine de poèmes que je voudrai publier dans un recueil dans un futur proche.    L'humanisme est au centre de ma poésie. J'ai toujours voulu à travers l'écriture participer à l'éveil des consciences et faire de l'humain le nœud permettant d'affranchir les barrières de la différence. C'est dans cet élan que j'ai pu participer aux activités du Secours Catholique qui place l'humain au centre de ses actions notamment à travers la solidarité.

L'évènement de juillet qu'ils avaient organisé et dont  j'ai pris part m'a permis de saisir que malgré la haine ,malgré, la xénophobie, malgré les discriminations ,malgré les inégalités, la liste est loin d' être exhaustive ,il y'aura toujours des personnes qui brillent tel un diamant pour redonner le sourire à toutes ces personnes privés de leur dignité voire leur humanité.

Le secours catholique mérite beaucoup plus de soutiens de la part des autorités étatiques et administratives car leur mission est la plus noble de toutes étant donné que la plus grande des noblesse c'est servir son prochain. Le Secours catholique est une structure permettant la cohésion et la stabilité sociale deux piliers indispensables pour la paix et le développement national. 

Leurs activités sont pleines d'enseignements et leurs actions sont pleines d'espoir. L'espoir d'un monde qui retrouver l'homme en tant qu'élément constructeur et fédérateur et non destructeur. Ensemble avec le secours catholique construisons un monde où le sourire est démocratisé et que les larmes de joie arrosent cette terre qui engendra la fine fleur appelée l'amour du prochain.

 

Nguirane Moussa  

 

 

 

La Mission Ouvrière de la Gironde, c'est quatre mouvements d'église ainsi que des collectifs

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Les visages de nos mouvements

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